La saine performance

PODCAST On parle de bien-être numérique | Épisode 22

Marie-Ève Landry, psychologue et fondatrice de « Ma Psy » est mon invitée cette semaine. On discute de sa philosophie de « moments lents » ou encore de saine performance. Voici un aperçu des 5 sujets essentiels traités durant l’épisode.

Dans cette ère hyperconnectée et exigeante, il est aisé de succomber à la pression de la performance. Les plateformes technologiques nous sollicitent en permanence, nous laissant croire que nous devons constamment être en action.

Marie-Ève Landry évoque le concept de « leadership santé » comme une pierre angulaire de son approche. Être un leader fort et conscient de soi-même et de son environnement est impératif. Cela implique de se connaître profondément, de reconnaître ses limites tout en capitalisant sur ses forces. Un leader en santé agit en équilibre, évitant de se laisser submerger par les exigences du travail.

Bien que le télétravail offre flexibilité et liberté, il peut parfois engendrer un sentiment d’isolement. L’être humain a besoin de contacts sociaux pour s’épanouir et développer ses compétences relationnelles. La pandémie a d’ailleurs accentué le besoin de rétablir ces liens. Il est essentiel pour les gestionnaires de trouver des moyens efficaces de rester connectés à leurs équipes, même à distance.

Marie-Ève Landry met en lumière le fait que le développement personnel est indissociable de la performance. Se connaître, gérer ses émotions et interagir de manière constructive avec les autres sont des compétences essentielles à cultiver pour atteindre une saine performance. Cela se traduit par une meilleure gestion du stress, une plus grande résilience et une capacité à influencer positivement son environnement.

La saine performance repose sur trois piliers fondamentaux : l’aspect économique, l’aspect environnemental et l’aspect social. Chacun de ces volets interagit de manière synergique pour favoriser un développement durable.

La véritable essence de la saine performance réside dans l’harmonie entre ces trois dimensions. C’est en équilibrant les objectifs économiques, les pratiques environnementales responsables et le bien-être des individus que l’on parvient à créer une performance durable.

Cependant, mettre en œuvre une saine performance n’est pas sans défis. Certaines entreprises sont encore focalisées sur la croissance économique au détriment de l’environnement et du social. Il est impératif de sensibiliser et d’accompagner les organisations dans cette transition vers un modèle plus équilibré.

La saine performance représente une nouvelle approche incontournable dans le monde des affaires. Elle incarne la responsabilité des entreprises envers la société et la planète. En embrassant ce concept, les organisations contribuent à bâtir un avenir où la prospérité économique s’accompagne du respect de l’environnement et du bien-être des individus. C’est ainsi que la performance devient véritablement saine et durable.

La saine performance, telle que prônée par Marie-Ève Landry, offre une perspective équilibrée dans un monde souvent obnubilé par la productivité. Choisir d’être improductif par moments n’est pas une faiblesse, mais une stratégie pour préserver notre bien-être et notre épanouissement. Le leadership santé, le maintien de liens humains et le développement personnel sont autant de piliers pour atteindre cet équilibre. En embrassant cette approche, nous pouvons aspirer à une vie professionnelle et personnelle plus épanouissante et performante.

Bonne écoute 🎧

Faites-vous du doomscrolling?

PODCAST On parle de bien-être numérique | Épisode 21

C’est un geste qui a commencé à voir le jour en 2018 sur la plateforme de Twitter et qui a gagné en popularité durant la crise de 2020, à cause notamment du partage constant et quotidien des nouvelles autour de la Covid-19. Avez-vous déjà entendu parlé de doomscrolling?

Vous vous connectez à vos réseaux sociaux et soudainement vous êtes absorbé par des publications à tendance négative, c’est comme si vous ne pouviez plus vous arrêtez, vous scrollez encore et encore…

Une mauvaise nouvelle et une autre mauvaise nouvelle, encore une mauvaise nouvelle. Bienvenue dans la boucle du doomscolling, une tendance à vouloir consommer des publications à sensation forte souvent négative.

Il y a une étude qui a été publiée en août 2022 et publié dans le Journal Health Communication, qui démontre que 16.5% des 1100 personnes de l’étude auraient des signes sévères de consommation des nouvelles problématiques. Cela cause une augmentation du stress, de l’anxiété et mener à des problèmes de santé mentale. Dans cette même étude, 27.3% des personnes ont des signes moyen de consommation abusive et 27.5% ont des signes minimes.

Certaines personnes ont développé comme une obsession à savoir ce qu’il se passe! Et c’est propre à ce monde numérique aujourd’hui car nous avons des nouvelles qui fusent du monde entier. On peut savoir les catastrophes de chaque ville de la planète. Mais doit-on s’infliger cela pour autant?

Est-ce que moi, Laurie qui vit au Québec, j’ai besoin de lire les nouvelles les plus triste à propos d’un autre pays? Cette disponibilité d’actualité est-elle bénéfique pour ma vie? Attention, je ne dis pas que l’on doit rester indifférent à ce qui se passe autour de nous et à l’échelle du monde! Je pose simplement la question sur la quantité de mauvaises nouvelles que le numérique nous permet de lire dans une seule journée.

J’ai fait le test durant les dernières années personnellement. D’observer ma journée et comme je me sens par rapport à la durée de consommation de nouvelles et le moment de la journée à laquelle je les consomme. Je vous invite à faire l’exercice. Pour ma part, j’ai développé un rituel de consommation hebdomadaire car la consommation quotidienne m’affecte trop personnellement. Lire une mauvaise nouvelle nous impacte.

Cela peut nous rendre triste, en colère, impuissant. Qu’importe que ce soit par la nouvelle elle même ou par les réactions des internautes. Vous est-il déjà arrivé de passer des minutes et des minutes à lire les commentaires d’une publication? Et vous ne comprenez pas les messages par rapport à ce que vous, vous vivez en lisant cette annonce. Cela vous déconnecte de la communauté qui écrit et là encore il y a une autre enjeu à savoir si les personnes sont de vrais personnes car il y a beaucoup de faux profils en ligne.

C’est un geste qui peut donner l’impression aux personnes de contrôler des événements pour lesquels nous n’avons aucun contrôle. Si je décide de m’informer régulièrement sur cette situation…Je contrôle la situation un peu plus, non? Je sais ce qu’il se passe donc je sais quoi faire.

Ne pas savoir peut mener au fameux syndrome FOMO, la peur de manquer quelque chose…

Le fait est qu’une mauvaise nouvelle va capter plus rapidement notre attention. Alors c’est un défilé de mauvaise nouvelle que l’on s’inflige puisque cela va nous faire réagir, nous faire arrêter sur une publication.

Cela peut aussi avoir des impacts considérables sur notre santé, notre empathie, nos relations sociales et notre travail.

Et à cela s’ajoute les problèmes de traitement de l’information avec nos biais cognitifs comme la stratégie heuristique qui conduit à croire ce qu’on désire croire ce qu’on veut au lieu de chercher la vérité, par les statistiques ou les sources des études publiées par exemple.

Le temps, tout ce temps perdu à lire des commentaires négatifs, à lire une nouvelle qui va vous stresser et changer votre humeur.

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Une étude de 2022 questionnait la responsabilité des algorithmes à placer constamment des publications à caractère négatif dans le fil d’actualité des utilisateurs. Ne pourrait-il pas créer une balance pour alterne positif et négatif afin de protéger la santé mentale des utilisateurs?

Et si, on demandait à nos médias de partager plus de bonnes nouvelles? Des nouvelles inspirantes? Des nouvelles qui ne mettent pas nos corps en état d’alerte! Des nouvelles qui nous mettent de bonne humeur.

Je sais qu’il y a eu des crises à répétition dernièrement mais je suis certaine que l’on a également grandit de ces situations difficiles et qu’il y a de belles histoires à raconter.

Peut-être que c’est la nouvelle loi C18 qui va faire basculer les choses. Vous l’avez certainement vu passer si vous vivez au Canada, les nouvelles vont être supprimées des plateformes Meta. Il ne sera plus possible de voir des actualités sur son fil d’actualité.

Bonne nouvelle ou mauvaise nouvelle?

Concernant le doomscrolling, je me questionne. Ilva falloir suivre les prochaines études sur le sujet, à savoir: est-ce que les gens vont réduire leur consommation d’actualités? Est-ce qu’ils vont simplement déplacer le problème sur l’application du média?

Le doomscrolling affecte votre santé c’est un fait mais cela va avoir des répercussions sur votre concentration et votre performance au travail aussi.

Que ce soit par le nombre d’interruption que vous allez avoir ou par vos pensées qui naviguent autour de cette dernière mauvaise nouvelle que vous venez de lire.

Vous pensez que l’un de vos collègues souffre de doomscrolling? Partagez-lui cet épisode ou article de blogue. Organisez une activité d’équipe autour de cet enjeu.

Parlez-en! L’hyperconnectivité prend bien des formes…

  1. Dans un premier temps, observez vos habitudes de consommation des nouvelles
  2. Notez comment vous vous sentez: suis-je stressé?
  3. Avez-vous de la difficulté à contrôler votre temps en ligne à cause des nouvelles?
  4. Ressentez-vous un besoin de regarder les actualités?

Pour ma part, j’ai développé une routine autour des actualités:

  • je suis abonnée à l’infolettre de 2 médias pour suive ce qui se passe
  • je fais la lecture en fin de journée et jamais dans l’heure du couché
  • je fais une pause en fin de semaine pendant mes jours de repos

Première entreprise labellisée VIVALA®

COMMUNIQUÉ DE PRESSE – Jeudi 7 septembre 2023 – Saint-Sauveur

C’est avec beaucoup d’enthousiasme que nous annonçons le nom de la première entreprise à obtenir le Label VIVALA® pour le bien-être numérique et le droit à la déconnexion.

La compétence clé des équipes dans un monde hyperconnecté est de savoir gérer la technologie:

  • L’utiliser correctement pour sa productivité et sa concentration
  • Se déconnecter sereinement pour sa santé globale et sa motivation

Le Label VIVALA ® permet d’officialiser les démarches de bien-être numérique et de droit à la déconnexion d’une organisation.

Nous sommes heureux d’annoncer que La Talenterie est la première entreprise à obtenir le label VIVALA®. Cette équipe spécialisée dans les Ressources Humaines travaille à changer le monde du travail et a souhaité le véhiculer officiellement dans ses valeurs d’entreprise avec la démarche de labellisation Vivala – pour le bien-être numérique.



« Dès notre première conversation avec Laurie, il a été clair que nous avions des questions à nous poser en matière de déconnexion numérique, malgré nos bonnes intentions en tant qu’employeur. Avec un processus simple, adapté à notre réalité d’entreprise, Vivala nous a montré le chemin pour améliorer nos pratiques en ce sens. Nous nous attendions à ce que notre équipe en soit ravie (ce fut le cas), mais nous avons été surpris de constater que l’impact significatif de la démarche sur notre manière de collaborer à l’interne.  »

— Sarah Jodoin-Houle

Laurie Michel, la fondatrice de Vivala a travaillé en France comme Responsable qualité de l’une des firmes de certification de logiciel les plus réputées.

À sa charge:

– l’étude du fonctionnement organisationnel

– la mise en place des procédures internes

– la traçabilité des actions

-les rapports de suivi de performance et plan d’amélioration continue

Gage de qualité, ces démarches de certification et label attestent officiellement de la mise en place de structures et actions. Laurie a voulu amener son expertise de certification et conseils afin de guider les organisations dans leurs démarches.

Les équipes internes ne sont souvent pas outillées pour contrer l’hyperconnectivité et une simple politique de droit à la déconnexion n’est pas la solution miracle pour lutter contre cet enjeu.

Selon une étude de Lecko en janvier 2023,sur un panel de 20 000 employés:

> 10% des personnes auraient été identifiées avec un profil ”hyperconnecté” et cela aurait un impact direct sur la qualité de vie au travail: baisse d’efficacité, perte de motivation pouvant aller jusqu’à un épuisement professionnel.

> 75% des personnes seraient le profil intermédiaire, interagissant notamment en dehors de leurs heures de travail habituelles. La même étude met en évidence les impacts de la surcharge informationnelle et de la difficulté de déconnexion sur la santé mentale des personnes.

Pour recevoir le Label VIVALA® , l’organisation doit satisfaire à 70% de la Charte de bien-être numérique©. Cette Charte, évolutive, sert de référentiel à la labellisation. La démarche jusqu’à la labellisation peut prendre de 1 à 6 mois, en fonction de la situation de l’organisation.

Pour l’entreprise, les gains sont immédiats:

  • amélioration des communications internes
  • soutient de la saine performance
  • valorisation de la concentration et de l’attention
  •  image de marque et réputation
  • amélioration de la productivité et de la satisfaction des équipes

Le label VIVALA®, c’est bien plus que des cases à cocher:

  • Rapport de diagnostic pour identifier vos forces et faiblesses en interne face à l’hyperconnectivité par notre équipe experte en bien-être numérique
  • soutien / service-conseil annuel pour faire vivre le bien-être numérique et le droit à la déconnexion
  • accès à des avantages
  • accès à des outils de saines gestions numérique et d’aide à la déconnexion

Le bien-être numérique parmi les 5 facteurs clés d’une bonne expérience employé.

— Harvard Business 11 Juillet 2023 >

Le Label VIVALA® garantit que l’entreprise s’engage officiellement pour leur bien-être numérique et leur droit à la déconnexion:

  • réduction des risques liés à l’hyperconnectivité 
  • respect dans les communications 
  • droit à la déconnexion
  • qualité de vie au travail 
  • environnement de travail propice à la saine performance

Nous vivons dans un monde ou le numérique prend une place prépondérante. Le bien-être numérique en entreprise est une réponse à cette culture du ‘sans repos’ instaurée par l’accessibilité illimité de nos outils numériques. Une entreprise qui détient le Label VIVALA® envoi un message puissant.

Elle se positionne comme une entreprise qui comprend les enjeux du travail d’aujourd’hui et par conséquent les préoccupations de ses équipes. Elle replace l’humain au cœur en s’opposant à la robotisation des personnes et au culte du surtravail qui mène à l’épuisement.

Enfin, elle participe à valoriser la déconnexion et à agir face à l’hyperconnectivité, un enjeu sociétal.

Pour plus d’informations sur la démarche de labellisation, contactez-nous.

Téléphones à l’école

PODCAST On parle de bien-être numérique | Épisode 20

L’interdiction des téléphones à l’école pour les élèves est un sujet brûlant qui ne cesse de susciter débats et controverses. Cette question soulève de multiples opinions et interrogations. Laurie a invité Martine Rioux, Rédactrice en chef et spécialiste des projets éducatifs à l’École branchée pour en discuter.

Dotée d’une passion pour l’écriture et le journalisme, elle a découvert le potentiel des technologies éducatives au début des années 2000. Au fil de ses rencontres avec des enseignants qui utilisaient ces outils de manière innovante pour l’apprentissage des élèves, elle a été profondément marquée et a choisi de s’engager dans le domaine du numérique éducatif.

Martine et Laurie insistent sur le rôle crucial de l’éducation aux technologies dans la société. Il est impératif de guider les jeunes pour une utilisation responsable des outils numériques. Les technologies ne doivent pas être diabolisées, mais comprises et maîtrisées. Les jeunes ont besoin de modèles et d’adultes qui les accompagnent dans cette démarche.

Pour certains, cette interdiction semble être la réponse aux problèmes de concentration en classe. Cependant, Martine plaide en faveur d’une approche éducative plus nuancée. Au lieu de bannir purement et simplement les téléphones, elle préconise d’ouvrir le dialogue entre élèves, enseignants et parents. L’objectif est de trouver un équilibre entre l’utilisation des téléphones à des fins pédagogiques et leur usage personnel.

Les parents ont également un rôle essentiel à jouer dans l’éducation aux technologies. Ils doivent être conscients de leur propre utilisation des appareils électroniques et des exemples qu’ils donnent à leurs enfants. Établir des règles familiales claires et expliquer aux enfants pourquoi certaines restrictions sont nécessaires est primordial.

Le débat sur l’interdiction des téléphones à l’école offre une opportunité unique de mener une réflexion approfondie sur l’éducation numérique et sur la place de la technologie dans nos vies. Il est temps d’engager une discussion collective sur la meilleure manière d’accompagner les jeunes dans une utilisation responsable et éclairée des technologies. L’éducation et la communication ouverte entre élèves, enseignants et parents sont essentielles pour relever ce défi.

Le lac-à-l’épaule

PODCAST On parle de bien-être numérique | Épisode 19

J’ai toujours fait des bilans de fin d’année avec des objectifs annuels à atteindre. Mais cela n’a RIEN à voir avec un lac-à-l’épaule! J’ai eu l’occasion d’en faire avec des entreprises dans lesquelles je travaillais et donc c’était naturel de l’intégrer à mon agenda d’entrepreneure. L’an passée, j’ai invité une amie solopreneure et nous sommes partie dans un très beau chalet en Lanaudière avec spa, sauna et chemin de randonnées. Je vous raconte notre aventure et pourquoi vous devriez le mettre à l’agenda!

L’objectif d’un lac-à-l’épaule c’est de sortir du bureau et prendre du recul. Alors, pas d’ordinateur et pas de courriels pendant quelques jours! On se concentre sur le déroulement de son année.

Un crayon et un cahier, j’avais mis en place un plan complet de réflexion pour pouvoir:

  • faire le bilan de l’année (forces, faiblesses, analyse financière, analyse projets, etc)
  • célébrer les bons coups
  • décider des priorités et objectifs de la prochaine année

Et arrivées sur place, le mot d’ordre était d’être disponible uniquement pour nous pendant 2 journées. Le Wifi était autorisé en dernier recourt, si par exemple besoin d’une information cruciale pour avancer.

Le fait de prendre un temps d’arrêt dans nos tâches quotidiennes nous a permis de nous reconnecter à nos missions, à nos ambitions et à nos rêves. À deux nous nous sommes beaucoup inspirées mutuellement. C’est un exercice vraiment puissant qui peut être réalisé avec votre équipe, entre amis ou en solo.

Podcast

Dans ce monde ou tout va vite, on a parfois l’impression que nous ne pouvons pas ralentir.

Je pense que c’est parce que nous ne comprenons pas bien le mot ‘ralentir.’ Ralentir, cela signifie diminuer sa vitesse, cela ne veut pas dire arrêter.

Si on prend l’exemple de la tortue, symbole de lenteur, elle est présente sur Terre depuis des millions d’années. Elle doit bien faire les choses non?

Ralentir est souvent assimiler à ne pas produire au maximum de sa capacité. Donc, dans un sens, à perdre du temps. Pourtant c’est en s’éloignant du bureau, en prenant le temps de sortir son nez de son day-to-day ,que l’on avance. C’est en prenant le temps de ralentir qu’on se recharge.

Beaucoup d’entre nous ont de la difficulté à lâcher le téléphone et ce rythme de travail, de rencontres, de tâches. Pourtant c’est quand on a de l’espace que l’on a de meilleures idées.

De plus c’est souvent quand on fait cet exercice que l’on se rend compte que la déconnexion du web, des messages, de la routine impacte positivement notre mental et facilite l’innovation.

Quand j’étais à haut niveau en équitation, je faisais toujours un bilan avec ma coach. Un retour sur les compétitions qui ont bien fonctionné et les erreurs de parcours durant l’année!

Cela nous permettait de:

  • déterminer les objectifs réalistes pour la prochaine saison de compétitions
  • travailler mes points faibles
  • identifier les périodes de repos et entraînements

Je pense qu’il y a un effet amplificateur avec le web aujourd’hui car Internet peut vous donner l’impression que les autres sont toujours  »à fond’. Le défilé de publications en ligne, avec lequel on va se comparer parfois malgré nous, va impacter le rythme de votre vie.

Alors que nous aurions tout intérêt à nous traiter comme des athlètes:

  • apprendre à gérer son énergie
  • accepter les temps de récupération comme essentiel à la peformance
  • se dépasser, oui, mais en priorisant sa santé

Organiser un lac-à-l’épaule, c’est rassembler vos joueurs pour des conversations honnêtes, respectueuses et des activités inspirantes pour les motiver et planifier la prochaine saison.

Je vois le lac-à-l’épaule comme une déconnexion de sa routine pour penser autrement.

Voici les forces principales d’une retraite stratégique:

Prendre du recul

Quand on a le nez dans son day-to-day c’est difficile de plonger dans une réflexion d’analyse de la situation. Aller dans un lieu différent, juste ce geste ouvre la porte aux idées, aux réflexions constructives.

Prendre du recul, c’est aussi signaler que vous n’êtes pas disponible. En restant au bureau, même si c’est à l’agenda, vous allez finalement faire passer un autre dossier qui semble plus important que de se repencher sur l’année qui vient de s’écouler.

S’aligner avec votre vision

Le web regorge d’idées! Mais est-ce aligné avec vos objectifs? Aujourd’hui, en l’espace de 20 secondes, votre choix de décision peut passer du vert au rouge. D’une publication à une autre, d’une infolettre à une autre! Ce bombardement d’idées, d’inspirations, de conseils est épuisant.

Parfois, on peut penser qu’il nous sert mais cela dépend de la façon de l’utiliser. Il peut aussi vous drainer beaucoup d’énergie. Un lac-à-l’épaule peut vous aider à vous reconnecter à votre mission et à vos priorités et vous aider à diminuer cette infobésité qui vous distrait et vous éloigne de votre but principal.

Renforcer les liens de l’équipe

Les modes télétravail et hybride occasionnent beaucoup de travail à distance. Bien que nous nous soyons habitués, d’une certaine manière à cette nouvelle façon de travailler, cela ne remplace pas la puissance d’un échange en personne.

Cela ne permet pas de travailler comme on le fait quand tout le monde est dans la même pièce, physiquement!

Faire vivre une expérience employé

Pour rappel, l’expérience employé c’est la perception qu’une personne va avoir de son travail: ambiance, cohésion d’équipe, niveau de confiance, conciliation famille-travail, matériel de travail, …

Elle va impacter l’épanouissement des équipes.

En tant qu’organisation, un lac-à-l’épaule a un impact positif sur votre culture d’entreprise. Pourquoi? Parce que celui-ci va aider à promouvoir vos valeurs. Que cela soit par le planning, les activités d’équipe ou encore les échanges entre collègues. Le fait d’être ensemble pour échanger et s’inspirer peut être très favorable à votre expérience employé.

J’ai trouvé notre lac-à-l’épaule fantastique, en compagnie de mon amie, parce que nous étions pour l’autre, la personne externe. Une personne qui voit les actions différemment. Une opinion neutre en quelque sorte.

Et aujourd’hui, je ne me vois pas refaire un lac-à-l’épaule seule. Voici pourquoi:

  • Voir les angles morts

Parfois, quand on est dans sa routine, on a de la difficulté à voir les angles morts. Une personne externe, c’est une personne qui va voir les choses différement de vous et c’est très stimulant.

  • Célébrer

L’autre personne va vous inviter à célébrer des avancements ou décision qui peuvent parfois vous sembler moins importante. Alors qu’en réalité, à grande échelle, ils ont un grand impact! Une façon de se reconnecter à soi, à son parcours et d’oublier toute cette comparaison en ligne facilement accessible.

  • Avoir une motivation

Vivre l’expérience avec une personne externe, c’est aussi s’entraider:

– à avancer les objectifs sainement

– ne pas craquer en lisant les courriels durant les temps de réflexion!

Je suis friande de teambuilding et je pense que c’est une belle idée de prévoir des activités dans le planning du lac-à-l’épaule. Cela permet de valoriser les pauses durant les sessions de travail. Et, selon le thème choisi, d’autres aspects de votre culture d’entreprise.

Tout ce qui est relaxation s’aligne avec des valeurs de prendre soin de vos équipes: massages, spa, méditation, sonothérapie.

Vivala offre aussi des jeux et défis autour de la déconnexion et du bien-être numérique qui peuvent venir mettre en lumière des valeurs de conciliation famille-travail et saine performance. Mais aussi aider concrètement ce collègue qui ne s’éloigne jamais de son téléphone.

Parce que cela risque d’arriver! Nombreuses sont les personnes qui souffrent de nomophobie. Alors il se peut qu’un de vos collègues ressentent le besoin d’être connecté durant le lac-à-l’épaule.

Peut-être cette personne pense-t-elle ne pas pouvoir travailler sans écrans:

  • L’ordinateur est synonyme d’actions
  • Besoin du web pour réfléchir
  • Difficulté à faire une seule choses à la fois

La forcer à se séparer des écrans pourrait lui occasionner beaucoup de stress. Par contre planifier une intervention, en équipe, pour parler des enjeux de l’hyperconnectivité est une option qui lui permettra de se sensibiliser. Cela pourrait aussi permettre des discussions intéressantes durant le reste du séjour. C’est un premier pas vers les saines habitudes numériques!

Ce n’est pas un comportement à prendre à la légère, il peut impacter la santé de la personne ainsi que la cohésion d’équipe.

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Vous repartez de ce séjour motivé, rechargé, enthousiaste avec un bilan, des célébrations, des temps de repos énergisants et un plan d’action pour vous guider.

En tant qu’organisation, c’est l’occasion de prendre le temps se reconnecter en équipe et d’envoyer des messages forts en faisant vivre une expérience.

À vos agendas!

Vous souhaitez impliquer Vivala dans le processus? Que cela soit pour un jeux autour du multitâche ou pour rédiger un plan de bien-être numérique pour la prochaine année. Faites-moi signe, activités variées de 45 minutes à 1 journée entière. En salle ou en nature. Tout est modulable selon le lieu, votre budget, vos objectifs.

Semaine de 4 jours

PODCAST On parle de bien-être numérique | Épisode 18

Dans un monde où la course effrénée à la productivité est monnaie courante, il est rafraîchissant de voir des entrepreneurs repenser leur approche du temps de travail. Cette semaine, je reçois la pétillante Marianne Lemay, présidente de l’entreprise Kolegz. Ensemble on discute de son expérience de la semaine de 4 jours. Cet ajustement a, pour elle, transformé sa vie et son entreprise.

Le Parcours de Marianne

Marianne a fondé Kolegz en 2019, une entreprise de créativité en ressources humaines.

Son voyage vers la semaine de 4 jours a été motivé par une série d’événements. Notamment un diagnostic de cancer qui a remis en perspective l’importance du temps et du bien-être.

Marianne a réalisé qu’elle avait toujours été obsédée par la performance et la productivité… Cela la poussait à sacrifier sa propre santé et sa qualité de vie.

Adoption de la semaine de 4 jours

Marianne a décidé de passer à une semaine de travail de 4 jours pour elle-même et son équipe. Elle a expliqué que cette décision avait été bien accueillie par ses employés. Elle offre à son équipe la possibilité de choisir entre quatre ou cinq jours de travail.

Cette flexibilité a été rendue possible grâce à une délégation minutieuse des responsabilités. Elle peut ainsi se concentrer sur des aspects essentiels de son entreprise.

Pour Marianne, la pression sociale pour travailler sans relâche ne devrait pas dicter votre vie. C’est à vous de décider comment vous voulez utiliser votre temps. Il est essentiel de repenser votre relation au temps et de vous accorder du temps pour vous et votre famille.

Marianne vous inviter à réfléchir à la raison pour laquelle vous travaillez de façon excessive. Que cherchez-vous à éviter?

Impact positif de la semaine de 4 jours

Marianne a partagé comment cette transition vers la semaine de 4 jours avait eu un impact positif sur sa vie. Elle se sentait moins fatiguée, moins irritable et moins sujette à la maladie. Et surtout elle peut passer plus de temps de qualité avec sa famille, en particulier avec son fils.

Côté productivité, travailler moins peut signifier accomplir plus, si vous choisissez de concentrer votre énergie sur l’essentiel, d’après elle.

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Leçons à retenir sur la semaine de 4 jours

Cette conversation avec Marianne met en lumière l’importance de repenser notre gestion du temps de travail. La semaine de 4 jours n’est pas seulement une réduction du temps de travail. C’est un moyen de prioriser votre qualité de vie, la santé et le bien-être.

Vous pouvez tirer des leçons précieuses de l’expérience de Marianne. Notamment l’importance de déléguer efficacement et de faire confiance à votre équipe.

En fin de compte, la semaine de 4 jours peut être un catalyseur pour une vie plus équilibrée et épanouissante. Ainsi le temps consacré à votre famille et votre bien-être est tout autant valorisé que le temp de travail.

Pratiquez-vous la semaine de 4 jours?

Déconnexion et vacances: 2 erreurs courantes

PODCAST On parle de bien-être numérique | Épisode 17

C’est LE mot à la mode durant les vacances. On le voit partout!

Oui je fais référence au mot déconnexion. Sur les réseaux sociaux, c’est un défilé de photos avec le hashtag #digitaldetox!

Déconnexion et vacances: les 2 erreurs courantes que l’on fait régulièrement.

La première erreur c’est que l’on parle souvent, voire pratiquement toujours, de ce thème pendant les congés. La déconnexion arrive dans nos têtes à l’approche de jours fériés, de vacances ou d’un long week-end.

Je comprends que ce mot est souvent associé à un certain lâcher-prise qui est facilité par les vacances.

Cela peut donner l’impression que c’est une pratique qui est directement liée, et même peut-être réservée, aux vacances.

Comme quelque chose d’éphémère et inatteignable la majorité du temps.

Ce qui est FAUX.

La déconnexion fait partie des gestes essentiels de votre bien-être numérique et il est primordial de s’octroyer des pauses numériques tout au long de l’année.

La déconnexion c’est comme un moment de recharge de votre corps et de votre tête. Vous avez besoin de plus qu’une déconnexion totale aux 6 mois dans ce monde hyperconnecté!

Et c’est accessible à tout le monde.

Qu’importe votre emploi.

J’entends déjà vos potentiels ‘oui, mais…

Quelles est votre perception des vacances?

Aujourd’hui les vacances sont ancrées comme un droit et un devoir dans notre vie. Cela fait partie de nos automatismes. Avez-vous déjà pensé à cela. Que représente le mot vacances pour vous? À quoi cela vous fait penser? À une période de déconnexion?

Je pense que c’est ici qu’il y a une association du mot vacances et déconnexion.

Les vacances sont une longue période de repos. Elles ne sont pas des journées de survie pour réparer les mois ou vous n’avez pas pris soin de vous.

Attention, ce n’est absolument pas mal de penser déconnexion quand vous pensez vacances. Tant que vous faites cela aussi avec le mot week-end! Vous voyez ou je veux en venir? La déconnexion n’est pas une action réservée à la période des congés.

C’est important de s’autoriser à se déconnecter tout au long de l’année.

Quel est le rythme idéal?

La déconnexion impacte toutes les sphères de votre vie: votre santé, vos relations sociales et votre productivité.

Personnellement, je ne suis pas en mesure de fonctionner si je n’ai pas plusieurs heures de déconnexion dans une journée.

J’ai une période de déconnexion – connexion à moi-même le matin avant d’attaquer ma journée de travail. Je prends des périodes de micro-déconnexion, pendant mes journées de travail le matin, à l’heure du lunch et l’après-midi.

Selon le rythme de ma journée, ma soirée est déconnectée des écrans et du travail par le biais de loisirs divers et variés.

Questionnez-vous. Observez vos journées avec et sans déconnexion.

Que se passe-t-il? Comment vous sentez-vous? Qu’expérimentez-vous?

Déconnexion numérique VS déconnexion

Ce ce que je définis comme la déconnexion numérique est un éloignement de la technologie pour un temps limité. Alors que la déconnexion peut englober un arrêt du numérique et une pause des responsabilités quotidiennes telles que le travail ou encore les tâches routinières.

S’entraîner régulièrement à ne pas être joignable et sur les écrans constamment, cela s’apprend.

Puis il y a un autre enjeu: les écrans peuvent vous aider à vous déconnecter du travail et de votre tête. Vous aimez écouter un podcast, faire jouer de la musique ou visionner un film.

Si on veut se déconnecter du travail, la déconnexion numérique est impérative. Cela veut dire déconnexion des plateformes comme les courriels ou le clavardage. Bien que c’est important de ne pas s’auto-flageller si vous craquez et ouvrez la boîte courriel.

Comme la technologie peut être une façon de s’évader, cela peut compliquer la déconnexion numérique. Mais comme c’est facile de s’occuper avec les écrans. Pas besoin de réfléchir. On est souvent porté à se diriger vers eux. Surtout quand on s’ennuie.

Pour ma part, j’ai instauré des limites d’activités sur les écrans, en heures, en fonction du déroulement de ma journée. J’ai aussi des activités faciles à faire pour les soirées que je souhaite sans écrans par exemple.

Une déconnexion totale c’est quoi?

Revenons à ma mention de déconnexion totale. Je vais vous donner ma définition et je vous inviterai à réfléchir à la vôtre.

Un moment de calme et de paix. Une reconnexion à moi-même. Un ralentissement. Une sensation de sérénité et d’ancrage dans l’instant. C’est briser la routine. Limiter les tâches.

La déconnexion numérique va aider la déconnexion de votre tête et la déconnexion de votre tête a besoin de la déconnexion numérique pour réussir. Parce que dès que vous ouvrez le téléphone, il se passe quelque chose. Soit c’est une invitation à consommer les réseaux sociaux, soit à ouvrir vos courriels professionnels. Et votre tête repart!

Couper le numérique c’est la première étape pour accéder à du repos et penser à autre chose que votre to-do liste, répondre à l’urgence des autres, repartir votre cerveau dans la routine de travail.

Cette déconnexion, elle est accessible en dehors des vacances. Parce que la déconnexion totale c’est avant tout une décision:

  • d’utiliser son temps sainement et cela passe par l’instauration d’un bien-être numérique dans votre vie

  • de réfléchir au rythme de votre vie: je veux dire par là, revoir les tâches que ce soit dans la vie perso et pro qui sont essentielles pour ne pas se surcharger de choses secondaires voire inutiles

Les périodes de déconnexion totales sont essentielles pour votre bien-être et votre productivité.

L’erreur 2, c’est la quantité de conseils, souvent mauvais qui inondent le web. Comme c’est la mode de parler de #DigitalDetox, tout le monde y va de sa recette miracle.

Seulement parfois ils peuvent empirer la situation.

Retirer toutes les notifications!

Prenons l’exemple des notifications, un des conseils les plus populaires est de vous inviter à enlever toutes les notifications. Cela peut fonctionner pour certaines personnes et pas du tout pour d’autres.

En réalité, cela peut même venir amplifier le problème et augmenter la consommation numérique car le fait de ne plus avoir d’alertes augmente le stress et le besoin de connexion.

Des études ont démontré une augmentation par exemple du nombre d’ouverture de l’écran chez certains utilisateurs, après qu’ils aient retirer les notifications sur leur téléphone.

Pourquoi?

Parce que la personne pense qu’elle manque des choses constamment puisqu’elle ne reçoit plus les alertes… Alors celle-ci va ouvrir son téléphone plus souvent pour vérifier ce qui se passe.

À la base, cela part d’une bonne intention. On sait que les notifications ont été créées pour nous alerter, créer chez nous une réaction, une curiosité, une récompense alors en les retirant on supprime le problème.

Non ce n’est pas aussi simple!

De plus chaque personne a un profil numérique qui lui est propre, selon ses goûts, ses responsabilités, sa réalité, son type d’activités en ligne qui peut demander une recette sur mesure. Et cela peut être très décourageant si vous suivez l’un de ces conseils et que cela ne fonctionne pas.

Vous avez des habitudes autour des écrans. Un cycle d’habitudes ne se rompt pas aussi facilement qu’en retirant simplement du jour au lendemain des notifications. Ce serait si facile!

J’ai partagé des astuces dans notre infolettre du mois de juillet, des options de gestion d’écran concrète qui fonctionnent et qui sont adaptés à tous les profils car elles sont modulables.

Vous l’aurez compris, la déconnexion est un geste essentiel à votre bien-être que vous devez vous octroyez régulièrement. Je sais que ce n’est pas facile. De par l’hyper-connexion de tous les aspects de nos vie avec cette technologie, avec les attentes des autres, etc.

Mais il existe des solutions pour intégrer plus de temps sans écrans et cet épisode est une invitation à vous questionner sur le rythme de vos déconnexions tout au long de l’année, pas seulement à l’approche des vacances.

Je voudrais terminer cet épisode avec une invitation à la déconnexion en personne. En septembre prochain, je collabore avec le sublime Hôtel Uniq pour vous faire vivre un séjour expérientiel mémorable.

Pourquoi en septembre?

Parce que l’on a parfois tendance à redémarrer à fond après la période estivale. Et c’est vraiment ce dont je parlais dans cet épisode: apprendre à ralentir en dehors des congés et de façon régulière.

Et encore plus si votre fin d’année est chargée! Ce n’est pas en vous brûlant les ailes que vous allez performer. C’est en respirant!

Avez-vous déjà dormi dans un hôtel nomade ?

C’est le concept des lieux! Un hôtel éphémère installé en ce moment dans le Parc de Mont-Tremblant. Je vous accompagne pendant 3 jours par le biais d’ateliers de bien-être numérique.

On va aborder les thèmes de l’hyperconnectvité, du FOMO, et bien d’autres.

Au programme, glamping de luxe, repas santé, nature, jeux, défis Vivala et de belles connexions humaines pour un week-end inoubliable!

C’est accessible grand public, que vous soyez en solo, en couple, en famille ou entre amis. Vous repartirez avec un plan de bien-être numérique pour vous permettre de ramener cette expérience à la maison.

À vos agenda cela aura lieu du vendredi 22 (arrivée en soirée)) au dimanche 24 septembre (13h).

Je vous glisse le lien de réservation ICI.

Vous n’êtes pas disponible, mais vous avez besoin d’aide pour vous déconnecter?

Faites-moi signe!

Parenthèse en Espagne avec Laetitia Gillard

PODCAST On parle de bien-être numérique | Épisode 16

Laetitia Gillard, conceptrice rédactrice web, est invitée sur le podcast de Vivala pour parler de sa réalité de travailleur autonome et de son idée de séjours créatifs. Petite Parenthèse en Espagne avec Laetitia Gillard!

La Parenthèse en Espagne pour se déconnecter

Nous partons en Espagne à la découverte de Laetitia Gillard, une française installée dans un village Andalou depuis 7 ans.

Laetitia fait ses études en arts plastiques. Elle développe, durant ses études, un amour pour l’apprentissage des langues lors d’un séjour en Sicile. Après avoir enseigné l’art plastique à La Réunion, elle s’est installée en Andalousie avec son mari espagnol.

Elle décide alors de se lancer en tant que travailleuse indépendante en ligne!

Laetitia a ressenti le besoin de se reconnecter à d’autres personnes et de partager des expériences avec ceux qui comprennent sa réalité de travailleurs indépendants en ligne.

Cela l’a inspirée à créer des séjours créatifs pour les freelances et autres. Ils peuvent se retrouver, se ressourcer et trouver de l’inspiration. Ces séjours sont nés de sa propre expérience personnelle. Ils visent à combler les besoins d’isolement, de création collective et de partage d’expériences.

Lutter contre l’isolement en ligne

Laetitia propose aux participants de ses séjours créatifs, à La Kaz Auzul, un environnement propice à la création et la déconnexion de leur vie virtuelle. Une parenthèse en Espagne pour se connecter à leur potentiel créatif.

Les activités comprennent des ateliers d’écriture, des séances de brainstorming, des échanges d’idées et des moments de détente. Les participants ont ainsi l’occasion de se ressourcer, de développer de nouvelles compétences. Mais aussi de nouer des liens avec d’autres professionnels indépendants.

Ces séjours créatifs offrent une alternative à l’isolement et à la dépendance excessive à Internet. Ils permettent aux travailleurs autonomes de stimuler leur créativité, d’explorer de nouvelles perspectives et de favoriser leur bien-être.

Immersion en Andalousie

Laurie et Laetitia discutent des motivations derrière la création des séjours créatifs La Parenthèse. L’idée principale du séjour était de créer une synergie entre les participants, en partageant leurs compétences et en collaborant pendant une semaine. Un lieu où les idées peuvent être développées lentement, sans l’urgence de l’instantanéité numérique à laquelle nous sommes souvent habitués.

L’idée est de prendre du temps pour créer, d’explorer de nouvelles idées et de se laisser porter par l’ennui et l’inspiration.

Laetitia Gillard

L’art pour réapprendre à créer sans aucune pression

Il est tout à fait vrai que les intelligences artificielles ont rendu possible la création d’images magnifiques. Même pour ceux qui ne sont pas artistes! Cela peut se faire rapidement et facilement en utilisant des prompts et des outils d’IA. Cependant, malgré la beauté de ces images, on peut ressentir un manque de satisfaction. La satisfaction que l’on va ressentir quand on fait son art soi-même.

L’art n’est pas une fin en soi dans les Séjours, mais plutôt un moyen de bien-être, de partage et d’expérience. L’art nous permet de trouver une satisfaction non pas dans le résultat final, mais dans le vécu et le processus de création.

Laetitia Gillard

L’énergie créative peut être présente même si les participants ne sont pas nécessairement des artistes. Les séjours offrent un espace où l’on s’autorise à vivre. À expérimenter des choses que l’on n’aurait peut-être pas osé faire dans la vie quotidienne.

L’idée est que l’art devienne un moyen de partage et de reconnexion à soi-même, pas seulement aux autres. Grâce à l’art, on peut apprécier d’être dans le présent, utiliser nos mains, sortir de nos pensées et lâcher prise. On redécouvre également nos sens! Par exemple à travers des ateliers de parfums où l’odorat évoque des images, des souvenirs et raconte des histoires.

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Ouvrir sa maison

Laetitia accueille les participants dans sa propre maison. Ils vivent un séjour qui vise à mélanger repos et travail de manière équilibrée. Cela offre une pause pour le cerveau tout en permettant de discuter de projets et d’objectifs professionnels. C’est une occasion de prendre du recul, d’explorer de nouvelles idées et de trouver des solutions. Tout cela en en vivant des expériences uniques dans un cadre différent.

L’art de la communication

Lors des séjours, les participants se rendent compte qu’ils ont des conversations profondes et authentiques. Parfois même plus profondes qu’avec des personnes qu’ils connaissent depuis longtemps ou leur famille. Les séjours offrent un espace où les discussions sont vulnérables et authentiques, ce qui est très enrichissant.

On a perdu l’art de la conversation authentique et souvent nos échanges sont teintés d’efficacité plutôt que d’authenticité.

Laetitia Gillard

Y-a-t-il une pause des réseaux sociaux?

Concernant la déconnexion du travail et de la routine, il y a eu des déconnexions réussies. Une participante, qui était très active sur LinkedIn, a ressenti le besoin de prendre du recul. Elle s’est donné le défi de ne pas poster pendant son séjour. Elle s’est rendu compte de l’aspect toxique de la boucle dans laquelle elle était enfermée.

Certains participants peuvent ressentir de l’anxiété liée à la déconnexion numérique. Le séjour, à ce moment là, permet de prendre du recul et de se rendre compte de l’impact parfois négatif des réseaux sociaux. Les discussions lors des séjours tournent souvent autour des réseaux sociaux et des questionnements liés à leur utilisation.

L’essentiel est de vivre l’expérience au lieu de se focaliser sur la prise de photos ou de vidéos. On arrête de montrer ce que l’on fait sur les réseaux, par exemple. Prendre une seule photo pour un souvenir est différent de chercher à tout partager de manière compulsive

L’intention derrière les publications est très importante. C’est la performance en ligne qui peut à un moment devenir malsaine avec cette recherche de  »j’aime ».

Laurie Michel

Pour écouter l’épisode intégral, rendez-vous sur votre plateforme de podcast préférée.

3 raisons d’inviter le bien-être numérique pour votre Lac-à-l’épaule

Vous organisez un Lac-à-l’épaule (retraite stratégique) et vous recherchez des activités à mettre à l’agenda ? On vous partage 3 raisons d’inviter le bien-être numérique pour votre Lac-à-l’épaule.

1. Le bien-être numérique pour prôner la saine performance

Le bien-être numérique est l’allié parfait durant votre Lac-à-l’épaule pour aborder le sujet de la saine performance. Votre équipe doit gérer de nombreux outils numériques au quotidien et l’accès à une gestion saine de la technologie ainsi qu’à des périodes de déconnexion peuvent être des défis pour un certain nombre d’entre eux.

Durant votre retraite stratégique, vous êtes réunis pour parler de l’année qui vient de s’écouler et pour définir les objectifs à atteindre pour les prochains mois. La santé des équipes est le moteur de votre organisation et de vos objectifs à court, moyen et long terme. Il est donc primordial de mettre des actions en place pour soutenir le bien-être de tous.

Saviez-vous que l’hyperconnectivité peut avoir des effets néfastes sur la santé des personnes? En encourageant des pratiques saines des technologies, vous aidez les participants à prévenir l’épuisement professionnel, à maintenir un équilibre entre vie professionnelle et vie privée, et à préserver leur bien-être émotionnel.

Selon l’activité choisie autour du bien-être numérique, vous pourriez aider vos équipes à:

  • Organiser leur énergie comme le font les athlètes
  • Comprendre leur relation avec la technologie et les défis de la déconnexion
  • S’autoriser à prendre des congés déconnectés ou faire des pauses sans culpabilité
  • Selon une étude réalisée par Lecko, sur plus de 20 000 employés en France en janvier 2023: plus de 70% des employés ont un profil de personnes hyperconnectées intermédiaires et 10% un profil de personnes hyperconnectées intenses.

  • Au Canada, on parle de 1 employé sur 3 qui avoue se connecter aux courriels professionnels durant les vacances..

2. Le bien-être numérique pour améliorer la productivité de vos équipes

Le bien-être numérique favorise une utilisation responsable et équilibrée de la technologie soutenant la performance de votre équipe. En intégrant une activité de bien-être numérique dans votre Lac-à-l’épaule, vous encouragez les participants à adopter des comportements qui vont les aider à mieux travailler.

Cette pause sur le thème du bien-être numérique va permettre à votre équipe d’être plus productive et engagée dans les discussions stratégiques à venir.

Selon l’activité choisie autour du bien-être numérique, vous pourriez également aider vos équipes à:

  • se conscientiser sur certaines gestes autour des écrans qui peuvent impacter la qualité de leur travail
  • penser à des solutions pour réduire l’infobésité (surcharge informationnelle)
  • établir un plan d’action interne autour du bien-être numérique durant votre Lac-à-l’épaule pour les actions annuelles futures entourant la santé et le mieux-être au travail
  • outiller vos équipes afin d’accéder à des périodes déconnexion et promouvoir une bonne conciliation famille-travail
La déconnexion, un levier de performance pour les entreprises dans un monde hyperconnecté!
Laurie Michel - Vivala

3. Le bien-être numérique pour renforcer la cohésion d’équipe

L’attention et la présence sont essentielles pour des échanges constructifs et efficaces lors d’une réunion. En invitant le bien-être numérique lors de votre Lac-à-l’épaule vous favorisez une culture de pleine conscience et de présence pendant les discussions.

Cela signifie que les participants seront plus attentifs aux idées partagées, aux questions posées et aux défis abordés. Ils seront également plus enclins à écouter activement, ce qui peut améliorer la qualité globale des interactions et des décisions prises lors de la réunion stratégique.

Selon l’activité choisie autour du bien-être numérique, vous pourriez également aider vos équipes à:

  • améliorer leur langage non-verbal numérique
  • identifier les comportements autour des écrans qui peuvent détériorer les relations entre collègues

Réservez une date avec notre équipe!

Vivala offre plusieurs formules pour aborder le bien-être numérique, que cela soit sous forme de formations, lunch & learn ou encore d’activité d’équipe ludique et éducative de 45 minutes à des journées complètes!

Vous avez un événement prochainement et vous désirez en savoir davantage sur nos services et activité de bien-être numérique? Contactez-nous ou:

À vous qui ne voulait pas déconnecter

PODCAST On parle de bien-être numérique | Épisode 15

Vous avez peut-être dans votre équipe ou dans votre entourage, une personne qui, malgré vos invitations à se déconnecter, continue de faire acte de présentéisme numérique pendant les vacances ou durant les temps de repos! Une personne qui vit avec le numérique au bout des doigts. J’ai été cette personne à une période de ma vie. Je vous explique la vision que j’avais à cette époque.

Pas besoin de déconnecter, ou j’peux pas!

Je me prenais pour la guerrière des employés modèles. Oui, tous ces mots ensemble, tellement ma croyance était intense! Plus j’en avais sur les épaules, plus j’étais disponible rapidement, plus j’avais l’impression de gagner en estime. Une vraie Wonder woman!

Bien que je travaillais en marketing numérique, je ne comprenais pas forcément tous les rouages de la technologie vis à vis de mon utilisation personnelle. Tout le monde avait le nez sur le téléphone alors c’était normal d’agir ainsi. Une lucky luke des notifications, je dégainais mon téléphone, plus vite que mon ombre!

Je trouvais, à cette époque, que cela faisait bien de dire que j’suis débordée. C’était ma phrase préférée.

Je ne pouvais pas me déconnecter pour XYZ excuses.

J’en tirais une satisfaction personnelle, un sentiment d’accomplissement dans ma sphère professionnelle. Je pensais que cela pouvait aider ma carrière et mes objectifs de vie. Ma disponibilité je pense, faisait plaisir à mes collègues et cela ajoutait comme une sensation que mon travail avait de l’importance. Pour l’équipe mais aussi pour l’organisation.

J’ai toujours été animée par la performance et la technologie m’a fait basculer dans une contre-performance, surperformance très nocive. Je vivais la culture du sans repos à 200%. Comme une vrai adepte fanatique, c’était ma religion de vie!

Pourquoi me déconnecter? Me déconnecter c’est le vide.

La peur du silence

Me déconnecter du travail, c’était arrêter quelque chose que j’aimais. C’est ce que je me répétais souvent.

Me déconnecter du travail c’était aussi devoir faire face à ma vie. J’ai mis un peu de temps à la comprendre…

Si je ne prends pas de temps pour construire des relations sociales, en me déconnectant plus souvent de mon rôle professionnel, ma vie personnelle n’est pas aussi remplie que ma vie professionnelle…

Alors ce silence, provoquée par la déconnexion, au lieu d’être agréable, il était presque vu comme moins attrayant. C’est un cercle, car si je ne prends pas soin de mes relations sociales personnelles parce que je n’ai pas le temps (en réalité, parce que je ne prends pas le temps), ma vie personnelle ne va pas s’améliorer.

Cependant, je vois l’avouer, j’ai été chanceuse dans ma période d’hyperconnectée car j’ai gardé, tout de même, des amies autour de moi. Et, il y a eu un moment ou j’ai commencé à surcharger mes agendas d’activités soir et week-end.

Ma dose de web

Mais l’autre raison, la plus forte, c’est que mes connexions étaient devenues comme une dose de drogue. J’avais besoin d’avoir ma dose de web. Ma dose de courriels, de message, de contenus qui font partir mon cerveau à droite à gauche. Une connexion qui pouvait en même temps amener de la tristesse, des sourires ou me mettre en colère.

Un bel éventail d’émotions auquel je m’étais habituée.

FOMO puissance 1000

Le syndrome FOMO, moi? X 1000! Peur de manquer le festival le plus fou de Montréal, l’artiste le plus populaire de l’été, la soirée qui pourrait m’amener l’opportunité de ma vie, … et en même temps, besoin de lire le message du travail à 22h.

Avec les événements Facebook, on a un liste sans fin d’opportunités autour de chez soi géographiquement, que notre ami Martin, à qui on a jamais parlé, va assister, bref vous comprenez le dilemme!

Je me souviens de soirée ou je faisais 2 soirées dans la même soirée! Parce que cette peur de manquer quelque chose, elle amène à ne pas vouloir choisir et à vouloir tout faire.

Culture de travail et valeurs d’entreprise

La culture d’entreprise dans laquelle j’évoluais alors, était également problématique.

C’était bien vu de répondre en fin de semaine à un message. Rien n’était dit oralement ou pas de façon directe mais cela se faisait ressentir autrement.

Je me devais d’être connectée, pour montrer mon dévouement, ma motivation.

C’était important de prouver que j’étais la personne sur qui on peut compter.

J’ai toujours aimé la performance, de par mon passé de sportive, c’est presque tatouée dans mon cœur. J’aime me dépasser, sortir de ma zone de confort et c’est une des raisons pour laquelle, à un moment, je me suis mis en compétition avec la machine…

En mode  »robot »

J’ai passé le mode  »robot ». Ce mode ou les heures ne comptent plus et nos besoins humains sont ignorés.

On se transforme en hamster qui tourne dans sa roue, on ne réfléchit presque plus, on continue à travailler, à répondre, à se surcharger.

Si on veut suivre le rythme dans notre monde hyperconnecté, brillait dans la société, a-t-on vraiment le choix? C’est le total statu quo.

Ce mode  »robot » dont je vous parle, n’aime pas le mot déconnexion, c’est presque une aberration. Parce que se déconnecter, c’est ne plus exister, ne plus être dans la tête des gens, manquer ce miracle imaginaire du web.

À l’approche des vacances, j’y pense

Je pense à ce moi d’avant. À ces personnes, qui disent être disponible sur leur téléphone cellulaire durant les vacances. Je sais ce qu’elles pensent: ‘oh ça va! C’est juste un p’tit courriel.’

Alors je voudrais envoyer un message particulier à ces personnes qui ne veulent pas déconnecter:

  • Non, votre force et votre ambition ne se mesurent pas à une surconnexion constante. Cela vous épuise et vous éloigne de votre objectif.

  • Oui, votre corps se fatigue même si vous ignorez les signes! Un jour, il va craquer. Nous sommes tous constitué de la même façon. Les temps de repos sont IMPÉRATIFS.

  • La vie va à toute allure, et votre vie, ce n’est pas juste le travail. Votre vie, elle se passe à l’extérieur des écrans. Votre expérience, elle se passe dans l’instant présent.

  • Oui vous allez manquer des choses, c’est normal, il y a plus de 1.7 millions de contenus qui sont partagés sur Facebook toutes les 60 secondes! Invitez le JOMO, la joie de manquer des choses durant l’été.

  • Vos vacances ne vont servir à rien. Vous pourriez même revenir plus fatigué qu’à votre départ.

Comment aider votre collègue à décrocher?

Nous avons tous des caractères et des personnalités différentes.

Alors il n’existe pas de recette miracle.

Par contre, vous pouvez agir pour sensibiliser les gens autour de vous.

  1. Ouvrez la discussion autour de l’hyperconnectivité
  2. Parlez de vos vacances et adresser les impacts du présentéisme numérique
  3. Rappelez les méthodes internes pour mesurer la performance
  4. Organisez une semaine de préparation des vacances comprenant comment déléguer, quoi faire en cas d’urgences etc
  5. Préparez les outils numériques pour les vacances

Bien entendu, plus cela va être discuté et mis en avant dans l’organisation, plus cela va faciliter la prise de vacances et l’accès à la déconnexion.

Je rappelle que former vos équipes aux enjeux de l’hyperconnectivité est un cadeau précieux à leur faire pour la gestion de leur bien-être mais aussi pour leur productivité.

J’ai souvent des personnes qui m’écrivent après mes interventions pour me dire ‘wow, merci pour l’éveil. Je vais prendre action.’

Que ce soit par le biais d’une formation, conférence, un atelier-jeux ou un Lac-à-l’épaule, Vivala offre différentes formules! Chacune d’elles amèneront une prise de conscience des dangers d’une mauvaise gestion des outils numériques ainsi que des pistes de solution qui fonctionnent à court et long terme.

D’un point de vue individuel, le programme d’aide à la déconnexion de mon livre est parfait pour vous aider à lâcher-prise.

Je prends des vacances

Je prends 3 semaines de vacances pendant l’été.

Non, je ne suis pas ‘chanceuse’, c’est une décision personnelle que de vivre pour autre chose que mon entreprise. Et attention, Vivala, je l’adore, c’est une mission de vie pour moi que d’éduquer mais aussi alerter sur la place de la technologie dans nos vies.

Je suis d’ailleurs très heureuse de voir que le podcast a de plus en plus d’écoutes. Je me sens remplie de gratitude à chaque témoignage et nouveaux clients.

Mais pour que je garde ma passion et mon énergie, mon horaire doit ralentir provisoirement de temps en temps. Alors, je vais profiter de l’été et me déconnecter pendant plusieurs semaines.

Et vous?

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